SI VOUS RENCONTREZ DES DIFFICULTÉS UNE CAISSE DE SOLIDARITE EXISTE ET NOUS POUVONS PEUT-ÊTRE VOUS AIDER.
Aujourd’hui avec la pandémie et la crise de l’emploi qu’elle entraine, la solidarité devient indispensable avec l’ensemble des artistes.
Les syndicats gèrent, par l’intermédiaire de l’Union Sociale du Spectacle (USS), une caisse de solidarité.
Nous aidons des artistes dans une grande détresse, nous payons des loyers, des notes d’électricité, nous aidons des camarades malades, ou des familles en difficulté après la disparition d’un parent, ainsi que des artistes qui veulent faire des stages de formation.
N’hésitez pas à prendre contact :
- avec L’USS au siège d’Audiens : 01 73 17 33 07
- ou avec L’AAFA-Actrices et Acteurs de France Associés, par l’intermédiaire du formulaire de contact de la page AAFA – Intermittence & Solidarité, où deux des ses membres qui s’occupent des attributions des aides vous aiguilleront.
Jacques-Henry Fabre et Michel Melki, pour la Commission AAFA – Intermittence & Solidarité.
Plus d’informations sur l’histoire de cette caisse de solidarité :
Il y a vingt-sept ans, un procès fut intenté aux six chaînes de télévision par les syndicats, pour non-respect d’une convention établissant un volume de production et d’engagements d’artistes. Au bout de cinq ans tous les syndicats eurent gain de cause et les chaînes furent condamnées à acquitter la somme de 931 768 € aux quatre syndicats, UNSA-SIA, SFA-CGT, SNAPAC-CFDT, SNLA-FO. Ceux-ci décidèrent de confier cette somme à Audiens / USS, afin d’en gérer les intérêts et de constituer et d’administrer une première caisse de solidarité. Il est prévu par convention que ces fonds reviennent « dans un but humanitaire et social, exclusivement aux seuls artistes dramatiques concernés. »
Une deuxième caisse a été créée avec des fonds de l’INA, laquelle a confié à l’USS « la gestion de fonds à finalité sociale, en application d’accords collectifs d’entreprise au profit des artistes interprètes, engagés pour les émissions de télévision (…) qui ont participé en tant que tel à un programme faisant partie des archives audiovisuelles de la RTF, de l’ORTF et des sociétés de programmes dont l’INA détient les droits, ou en activité depuis au moins 5 ans avant la constitution de leur demande d’intervention sociale et ayant perçu un minimum de 1 cachet d’artiste interprète pour des émissions de télévision. »